Aligner les compétences et la performance des collaborateurs sur les besoins de l’entreprise

Plus centrée sur l’individu et sur le maintien de son employabilité : la politique britannique en matière de formation fait figure d’exception dans la récente enquête menée en 2015 par cegos.

57 % des DRH et Responsable de Formation (RF) britanniques considèrent le fait d’attirer et fidéliser les talents comme « très prioritaire », contre seulement 38 % des DRH/RF allemands et français. Pour près d’1 sur 2, accompagner le projet professionnel des salariés est jugé «  très prioritaire », contre seulement 28 % pour les DRH/RF allemands.

Une politique qui se traduit par une plus grande satisfaction du côté des salariés : 84 % des salariés britanniques estiment que la politique formation de leur entreprise met en œuvre tous les moyens pour identifier les compétences dont elle a besoin (vs. 73 % en moyenne pour les autres).

Quid des tendances en matière de format ?

Déjà observé lors des années précédentes, le lent recul de la formation présentielle se confirme. Il est à prévoir la montée de l’intra au détriment de l’inter. Aujourd’hui, l’entreprise a besoin d’évaluer de manière plus précise le retour sur investissement de ses actions de formation. Elle peut mesurer l’impact de ses dépenses et les organismes de formation témoigner de leur performance.

La plus grande maturité des entreprises vis à vis du digital et du blended learning apparait comme une tendance lourde. La tendance est à la co-construction de dispositifs de formation. A certains égards, 2016 s’annonce comme l’année de la formation sur mesure.

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